LA TCIC TOUT PUBLIC : l'ecole du jeu pour tous
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La TCIC© est un espace de création pure où tout est possible, mais aussi où tout est à refaire. On se « laisse traverser par » la musique, les mots, les autres... On se sculpte, on se laisse sculpter dans l’instant présent. Ces exercices entraînent à devenir protagoniste de sa propre vie. Concrètement, il s’agit d’apprendre à maîtriser son énergie (l’augmenter, la canaliser, l’assouplir, la fluidifier, l’adoucir, la tendre), à accepter ses émotions (aucune n’est à condamner, aucune n’est mauvaise en soi), et à défaire ses routines (se déconstruire pour se reconstruire, plus sain, plus juste). C’est en pratiquant, en s’essayant, en tentant, que chacun peut parvenir à définir et à comprendre ce qu’il désire faire de lui-même et son rapport au monde. Perspectives de travail
Ils ont vécu l’expérience de la TCIC« J’ai aimé découvrir des personnes à travers ce travail, dans un espace où l’on cherche à être vrai, libéré. Les relations qui se créent sont simples, le sentiment de partage réel et profond. Nos vies et nos petits tracas ne nous définissent pas ici ; nos métiers, nos relations, ne font pas ce que nous sommes.» Laure-Marie H, stagiaire TCIC, week-end, 2019
Gérard L, stagiaire TCIC, atelier, 2020 « J'ai fait un stage de TCIC il y a presque un mois et je n'exagère pas si je dis que ma vie depuis est plus tendre, plus vive, plus profonde. Le travail continue et je me sens accompagnée par tous ceux qui, après un passage sur le plateau de la goutte d'or, en retournant à leurs quotidiens, sentent que quelque chose est en train de changer. Je n'arrive pas encore à localiser précisément le nouveau chemin par lequel le dedans et le dehors se rencontrent mieux en moi, mais je comprends que je faisais une opération avant, dans mon corps, qui faisait un raccourcit et gonflait mes réactions à partir de presque rien et cela provoquait une sorte de lassitude, d'épuisement, sur scène et dans ma vie (je m'en rends compte maintenant !) Dans ce que je dé-couvre, il y a : une matière poreuse, souple, avec plusieurs couches, pour l'instant je la ressens entre ma poitrine et mon bassin mais je suis sûr que je dois pouvoir la vivre jusqu'au bout des doigts, cette matière peut être longuement touchée, en continu, quand je la laisse être atteinte, ma parole est sensible, on dirait qu'elle n'arrête pas de rentrer chez elle, elle est émise de là où ce qui l'engendre reçoit, ma présence est accordée, je peux choisir, je suis émue plus souvent, et franchement, je me supporte mieux comme ça (!!!). J'ai découvert aussi : le FLUX ! Je ne sais pas encore comment mais aujourd'hui je peux sentir quand je l'arrête. Et quel joie quand avec douceur (connivence) (attention) (enthousiasme) je l'accompagne sans l'éteindre. Je ris parfois en sentant les automatismes revenir au galop, je prends aujourd'hui le temps de parler à mes cellules, je leur dis que tout va bien, qu'on est là pour jouer, et que je veux des jambes douces....j'éprouve une gratitude intense, vivement le prochain week-end, juin j'espère ! Merci.» Amandine M., stage TCIC 5 jours, 2021
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